Plan du récit de formation et du projet de formation continue
INTRODUCTION
Sujet amené : la fin de mon bac en travail social, expérience et connaissances pratiques théoriques a façonné ma couleur d’intervenante.
Sujet posé : Regard sur le développement de mon identité professionnelle et mes aspirations futures comme travailleuse sociale.
Sujet divisé : récit de formation : lien entre savoir expérience, théorique et méthodologique / projet de formation continue : formation continue, moyens
1.RÉCIT DE FORMATION
1.1 Savoirs d’expérience qui m’ ont mené à vouloir devenir T.S
-Histoire de vie : DEP en coiffure : travail dans le milieu pendant plusieurs années pour me rendre compte que je trouvais souvent le milieu trop superficiel- désire d’aider et être utile dans la société- compétences développée en coiffure : écoute active.
-Réorientation vers un métier en relation d’aide : bénévolat au Parrainage civique de l’est de Montréal et animation d’atelier d’art en psychiatrie au CHUM. Expérience confirme que je veux aider les gens. Passer une journée avec une TS et une TES
– Mon choix : la technique en éducation spécialisée, au Cégep Marie-Victorin (moins de paperasse plus dans l’action). Apprentissage et mise en action des techniques d’intervention et des approches. 2 stages TES : CRDITED et la Rue des Femmes de Montréal= développer mon expertise avec les personnes qui présente une DI et/ou un TSA avec d’autres troubles concomitants et d’expérimenté un milieu communautaire plus informel, défense de droit, politique…
-Expérience de travail comme TES : 1 an au Petit Revdec organisme pour jeune mère décrocheuse : expérience intervention de groupe / CSDM TES plancher, classe spéciale TSA, école spéciale TSA et service à l’élève comme TES cellule de soutien (intégration des élèves TSA en classe ordinaire) = développer un savoir et une expertise auprès des personnes qui ont un TSA (approche béhavioriste, cognitivo-comportemental, fonctionnement TEACCH, PECS…)
1.2 Aspirations en début de formation
-Désir de poursuivre étude Université pour approfondir mes connaissances en intervention. Hésitation : psychoéducation ou travail social. -Choix travail social intérêt pour la lunette davantage sociologique que psychologique des problèmes sociaux. (ACTS,2005, OPTSQ, 2007). OPTSQ, 2012).
-Principales valeurs du TS qui m’ont inspirée: principe de justice sociale, défense de droit, autodétermination.
Références : référentiel des compétences des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux (2012) p.7, ligne directrice pour une pratique conforme à la déontologie (2005) p.25, L’éthique et les travailleurs sociaux : élément de réflexion et guide de délibération (2007) p. 12.
1.3 Principaux savoirs théoriques et méthodologiques sur lesquels repose aujourd’hui mon identité professionnelle en construction (3 cours)
-TRS2560 Éthique et déonthologie du travail social :
-Importance de développer une posture critique et réflexive, délibération éthique : tenir compte de la complexité des situations (micro à macro) (OTSQ,2007),
-Éviter l’action spontanée et réponses normatives et stéréotypées, ne pas se limiter au code déontologique et aux règles pour agir (vision incomplète, réduire conformiste, perte esprit critique) importance autonomie et jugement professionnelle, (Petenaude,2000)
-Attention aux enjeux d’asymétrie : reproduire inégalité sociale : article 8.0 et 8.2.1 (ACTS,2005)
-TRS1580- Théories des problèmes sociaux et de la marginalité :
-Constructivisme/ déviance/ parole aux plus marginaux dans la construction des problèmes sociaux. (Dorvil, 2013)
-TRS1520 : Intervention auprès des individus en travail social :
-Connaissance des étapes du processus d’intervention, importance de l’évaluation du fonctionnement social. (Tucotte et Deslaurier, 2017)
-TRS2650 Intervention avec des familiales et des proches en travail social :
-Approche systémique : tenir en compte de la complexité d’une situation, posture d’explorateur (Archambeau, 2008),
-Posture co-construction, posture d’autoréférence, posture de doute et incertitude, posture de partenariat et de coopération (Elkaïm, 2004 et Mongeau, 2013)
TRS1205 rapports de genre:
-Lunette féministe en intervention : rapport de pouvoir de genre, idée au cœur des féministes (cornet, 2008 et Toupin, 1998)
- Piste d’action féministe sur tous les plans (Drion, 2007).
-TRS2750 action collective en travail social
-Vision de transformation sociale, chaque action (individu, groupe, collectivité) idéologie démocratique, éliminer domination, courant libertaire (Kruzynski et Sévigny, 2021)
-Pensée de Hannah Arendt : possibilité de changement : capacité des humains à être des hommes d’action, des êtres politiques, capacité à innover et être créatif, monde commun vers la transformation sociale (Duval, 2008)
-Approche anti-oppressive : lutter contre les oppressions à tous les niveaux d’interventions, viser de transformation sociale (Pullen-Sansfaçon, 2013)
-Approche d’empowerment : plan individuel, communautaire et structurel (Ninacs, 2003)
1.4 Expériences de stages les plus significatives et les savoirs pratiques que vous en avez tirés.
-Approche interculturelle : respect des représentations culturelles de la personne (analyse critique sur EFS, Rachédi et Taïbi, 2019)
-Travail en contexte interdisciplinaire : avantage (Jackson et Lagacé, 2018 et Bergeron-Leclerc, Milot, Museux et Plante, 2019) défis (Turcotte et Deslaurier (2017)
-Plan d’intervention par les forces : arriver à une collaboration et arriver à répartir le pouvoir en favorisant sa vision du rétablissement tout en respectant notre mandat (analyse critique PI, Khoury et Chaput, 2021)
-Connaissance du trouble de schizophrénie et des stratégies d’interventions. Symptômes positifs et symptôme négatif (Bebby, Huo, Lalonde, Landry-Cuerrier, Marinier et Sergerie (2016)
Facteurs de risque et de protection relevant de la communauté et ayant une influence sur la qualité de vie (Dallaire et Tremblay, 2019)
-Déterminant sociaux de la santé et de la santé mentale. (Dallaire et Desrosiers, 2019)
1.5 Apprentissages/enseignements retenus des rencontres d’analyse de pratique à l’UQAM.
-Voix des absents importants : redonner du pouvoir aux plus exclus et les moins entendus de la société, approche plus démocratique.
-Apprentissage sur les autres milieux se stage
-Développé une réflexion critique à partir des différentes analyses de pratique et réflexions sur diverses stratégies d’interventions à mettre en place
-Apprentissage d’intervention dans certaines situations spécifiques qui m’ont marqué :
-contexte d’intervention de groupe : comment faire une intervention éthique en unifiant l’intervention individuelle et de groupe.
-contexte d’intervention avec les personnes âgées : Que faisons-nous lorsque la personne ne semble pas dans le bon service, mais la personne refuse d’avoir des services en santé mentale
-contexte d’intervention interculturelle (santé mentale et réfugiée): processus migratoire, comprendre la méfiance, lien micro-macro c’est quoi la place de l’immigrant dans notre
système, déconstruire rapport de pouvoir, discours sociaux, forces de cette femme.
-Contexte DPJ : ce qu’on peut faire lorsqu’on est bloqué dans un dossier pendant 8 ans, mère pas impliquée.
2. PROJET DE FORMATION CONTINUE
Identifier vos principaux besoins de formation continue à court, moyen, long terme et les moyens envisagés pour enrichir vos connaissances et vos compétences.
Rester à jour au niveau des problématiques, des approches et stratégies d’intervention. Approfondir mes connaissances sur: approche féministe, approche interculturelles, approche systémique. Problématiques: santé mentale, toxicomanie, réalités autochtones...
Moyen : lecture de revue scientifique en travail social, formation(ordre, université, privé), supervision, rencontre clinique...
CONCLUSION
Faites ressortir 3 constats concernant votre dernière année de formation en T.S.
-J’aime l’intervention individuelle, mais me limiter à celle-ci me crée un manque. J’aimerais davantage travailler avec les familles pour pratique l’approche systémique.
-La place de la bureaucratie et de la rédaction de notes évolutives et d’évaluations prennent une grande place en travail social. Cela génère du stress (rapidité, manque de temps, lenteur dans la rédaction, difficulté à synthétiser). Mettre me limite, lâcher prise, gestion du stress.
-J’adore travailler en équipe et je désire trouver un milieu qui favorise la collaboration, l’entraide, le soutien, les échanges cliniques…
Lister vos prospectives professionnelles dans 1 an, 5 ans et 10 ans.
-Travailler au CLSC dans soit dans le service : jeune en difficulté, au scolaire, DI/TSA
-Faire ma maîtrise soit : travail social ou faire la thérapie familiale et conjugale (attente que je programme sorte en français)
-Peut-être enseigner
BIBLIOGRAPHIE
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Archambault, C. (2008). Complémentarité des visions cartésienne et systémique. Récupéré de
Benny.M, Huo, .A. Lalonde, J-A., Landry-Cuerrier, J. Marinier, L., Sergerie, M-A. (2016). Santé mentale et psychopathologie. (2e édition). Montréal : Modulo.
Bergeron-Leclec, C., Milot, E., Museux, A-C., Plante, A. (2019). Conjuguer les expertises afin d’optimiser la collaboration interprofessionnelle en santé mentale. La pratique du travail social en santé mentale : Apprendre, comprendre, s’engager. Québec, Presses de l’université du Québec. Récupéré de https://www-jstor-org.proxy.bibliotheques.uqam.ca/stable/j.ctvjk2vfh.11?seq=1#metadata_info_tab_contents
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stream/2268/11855/1/cornet-genre%20et%20travail%20social.pdf
Dallaire, B. et Desrosiers, M. (2019). Au cœur des compétences de contextualisation la prise en compte des déterminants sociaux de la santé et de la maladie mentales. La pratique du travail social en santé mentale : Apprendre, comprendre, s’engager. Québec, Presses de l’université du Québec. Récupéré de https://www-jstor-org.proxy.bibliotheques.uqam.ca/stable/j.ctvjk2vfh.12?seq=1#metadata_info_tab_contents
Dallaire, B. et Tremblay, S. (2019). L’intervention auprès des communautés vers des milieux de vie favorables à la santé mentale. La pratique du travail social en santé mentale : Apprendre, comprendre, s’engager. Québec, Presses de l’université du Québec. Récupéré de https://www-jstor-org.proxy.bibliotheques.uqam.ca/stable/j.ctvjk2vfh.12?seq=1#metadata_info_tab_contents
Dorvil ,H.(2013 ). Chicago, l’école des problèmes sociaux d’hier à aujourd’hui. Qu’est-ce qu’un problème social aujourd’hui repenser la non-conformité, Otero, M. et Roy, S. Presses de l’Université du Québec.
Duval, M. (2008). L’action collective pensée par Hannah Arendt : comprendre l’agir ensemble pour le favoriser. Service social, (Vol. 54, numéro 1), p.83-96. Récupéré de https://www.moodle2.uqam.ca/coursv3/mod/folder/view.php?id=2202414
Elkaïm, M. (2004). L’expérience personne du psychothérapeute : approche systémique et résonance. Vol.24, p.145 à 150. Récupéré de https://www.moodle2.uqam.ca/coursv3/mod/url/view.php?id=1613052
Jackson, O. et lagacé, G. (2021). Suivi intensif dans le milieu. Santé et Services Sociaux du Québec.
Mongeau, S. (2013). L’intervention clinique avec les familles et les proches en travail social. Dans Le travail social-théories, méthodologies et pratiques (p. 191-218).
Ninacs. A (2003). Les journées d’animation 2003. «L’empowerment et l’intervention sociale». Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine 2003. Récupérer de Moodle file:///Users/emilieperraultlapierre/Downloads/Ninacs-2003-Intervention-et-empowerment%20(2).pdf
OPTSQ, (2007). L’éthique et les travailleurs sociaux : éléments de réflexion et guide de délibération. . Récupéré de https://www1.otstcfq.org/wp-content/uploads/2018/01/lethique_et_les_travailleurs_sociaux_elements_de_reflexion_et_guide_de_deliberation.pdf
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Patenaude, J. (2000). L’intervention en éthique : contrôle moral ou support réflexif ? Dans A. Lacroix et A. Létourneau, Méthodes et interventions en éthique appliquée (pp. 23-39). Saint-Laurent : Fidès.
Pullen-Sansfaçon, A. (2013), « Pratique anti-oppressive », In Dorvil, H. et Harper, E (Dirs.), Théories, méthodologies et pratiques, p. 353-373. Récupéré de Moodle
Khoury,E. et Chaput, M. (2021). L’approche par les forces en santé mentale : entre confrontation et découverte sur le terrain. Intervention 2021, numéro 153, p.43-60. Récupéré de
Kruzynski, A. et Sévigny, M. (2005). Réhabiliter la politique : une option libertaire. Récupéré de Moodle https://images.sdm.qc.ca/fichiers/Public/2005/A559022.HTM
Rachédi. L. et Taïbi , B. (2019). L’intervention interculturelle .3e édition, Chenelière éducation, Québec.
Je suis en train de rédiger le commentaire ! :)
RépondreSupprimerBravo pour ton plan Émilie, selon moi, il est complet et clair. D’ailleurs, je ne trouve pas ça évident de commenter/critiquer un plan, car pour moi il est difficile de savoir si le plan est assez détaillé pour la personne qui l’utilisera. C’est le brouillon d’un texte qui sera beaucoup plus complexe et riche et la façon de faire un plan peu grandement varié d’une personne à l’autre et son utilité aussi. Tous les sous-points ont été traités avec attention. Il serait peut-être intéressant que tu sortes un peu plus du sujet dans ton introduction, que tu y ailles plus largement. Comme je peux lire dans ton plan, toi aussi tu as pratiqué l’écoute active lorsque tu travaillais comme coiffeuse, c’est comparable à mon expérience en tant que barmaid. Rien n’est perdu et on fait du travail social informellement plus que l’on peut le penser. Je trouve que c’est pertinent que tu nous transmettes les connaissances que tu as acquises avec ton expérience en tant que TES, car ça fait partie de toi et je pense que ta formation doit influencer beaucoup ta pratique. Les valeurs qui t’ont inspiré du travail social sont celles qui m’ont inspiré aussi. Tu es une personne qui réfléchit beaucoup et qui est critique et je pense que c’est un atout très important dans notre future profession. Tu souhaites un changement social et ça se sent. On voit que le bien-être des usagers est au centre de tes préoccupations. Tu as un grand souci à ne pas reproduire les oppressions et je t’exprime mon admiration. La partie de ton travail concernant les principaux savoirs théoriques et méthodologiques sur lesquels repose ton identité professionnelle en construction est bien élaborée. Tu fais des liens vraiment pertinents et je pense d’ailleurs que je vais m’en inspirer pour mon travail. Le texte de Patenaude et celui de Pullen-Sansfaçon m’étaient complètement sortis de la tête, merci pour les sources. Lorsque tu décris tes apprentissages concernant le cours du séminaire, tu le fais avec justesse et précision. Pour ce qui est du projet de formation continue, je te conseille d’aller voir sur le site de l’Ordre sur la plateforme de formation continue, cette page te donnera peut-être des idées. Malheureusement, les formations sont plus en lien avec la bureaucratie, mais il y en a tout de même quelques-unes plus en lien avec des clientèles cibles.
RépondreSupprimerJ’en ai repéré une qui s’intitule : <>, elle pourrait peut-être t’intéresser, car tu nommes être intéressée par l’approche féministe. Pour ce qui est de tes autres intérêts de formations, je pense qu’il faut faire ses propres recherches et regarder les formations qu’offrent certains organismes. Je pense à Femmes autochtones du Québec par exemple qui offre des ateliers et des conférences particulièrement aidantes. C’est des formations qui sont offertes afin de sensibiliser les participants aux réalités autochtones. J’en ai suivi une d’ailleurs grâce à mon milieu de stage et j’ai bien aimé. Sinon je t’invite à faire les lectures que Sabry ou d’autres stagiaires nous ont envoyées sur Teams concernant les problématiques qui t’intéressent davantage. Je pense à l’outil « Connais-tu tes droits en santé mentale? » que Nelly a partagé par exemple. À la fin de cet outil, dans l’annexe 2, on y retrouve plusieurs ressources qui semblent utiles pour défendre ses droits. Tous les constats que tu fais dans ta conclusion me rejoignent aussi. Je partage tes préoccupations par rapport au stress que génère la place de la bureaucratie dans le métier de travailleuse sociale. Nous avons étudié la nouvelle gestion publique, principalement dans le cours TRS1750 — Liens sociaux et analyse enjeux t.soc contemporain avec Cristelle Lebreton et dans le cours TRS2130 — Dynamiques organisationnelles et exercice du t. soc avec Annabelle Berthiaume, donc nous sommes au courant de l’ampleur que prend l’idéologie gestionnaire dans notre profession. Je pense que nos préoccupations sont valides et sensées. J’aime le fait que tu mettes l’option d’enseigner dans tes prospectives professionnelles, je pense que tu as le travail social assez à cœur pour être une bonne enseignante. Ton bagage de TES est aussi avantageux selon moi, car avoir des connaissances diversifiées ne peut qu’être bénéfique. Bonne continuation et ne lâche pas Émilie !!! You Rock!
RépondreSupprimerBibliographie :
Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (2022). Activités de formation continue : Organisées par l’OTSTCFQ. Dans Plateforme de formation continue. Récupéré de https://formation.otstcfq.org
Femmes autochtones du Québec (2022). Ateliers et conférences. Dans Soyez actives. Récupéré de https://faq-qnw.org/soyez-actifs/
Berthiaume, A. (2020). La professionnalisation de travail social, PowerPoints. TRS 2130, Dynamique organisationnelles et exercice du travail social. Université du Québec à Montréal, Département de travail social. Récupéré de Moodle https://docs.google.com/presentation/d/1Fg6aHviwulBIUbbNZ4EpZy0Pu3b805E2FAAdNxi0zcs/edit#slide=id.p
Lebreton, C. (2020). Liens sociaux et analyse des enjeux du travail social contemporain , TRS1750. Université du Québec à Montréal, École de travail social.
Action Autonomie (2021). Connais-tu tes droits en santé mentale ? Dans boîte à outils. Récupéré de https://uqam-my.sharepoint.com/personal/jd491067_ens_uqam_ca/Documents/Microsoft%20Teams%20Chat%20Files/OUTILS%20-%20Droits%20santé%20mentale.pdf
Coquille : J’en ai repéré une qui s’intitule : <>* (début de la deuxième partie du commentaire)
RépondreSupprimermerci VIV!!!
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